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2009.11.20

Ballon d'Or - Palmarès

De Matthews à Messi, d'Albert à Zidane, les lauréats du Ballon d'Or France Football depuis sa création en 1956 :

Matthews (1956)
di Stefano (1957, 1959)
KOPA (1958)
Suarez (1960)
Sivori (1961)
Masopust (1962)
Yachine (1963)
Law (1964)
Eusebio (1965)
B. Charlton (1966)
Albert (1967)
Best (1968)
Rivera (1969)
G. Muller (1970)
Cruyff (1971, 1973, 1974)
Beckenbauer (1972, 1976)
Blokhine (1975)
Simonsen (1977)
Keegan (1978, 1979)
Rummenigge (1980, 1981)
P. Rossi (1982)
PLATINI (1983, 1984, 1985)
Belanov (1986)
Gullit (1987)
Van Basten (1988, 1989, 1992)
Matthaus (1990)
PAPIN (1991)
R. Baggio (1993)
Stoitchkov (1994)
Weah (1995)
Sammer (1996)
Ronaldo (1997, 2002)
ZIDANE (1998)
Rivaldo (1999)
Figo (2000)
Owen (2001)
Nedved (2003)
Chevtchenko (2004)
Ronaldinho (2005)
Cannavaro (2006)
Kaka (2007)
C. Ronaldo (2008)
Messi (2009)

2009.11.18

Paon sur le bec

Dans la série nos amis les bêtes, on n'a sans doute pas fini de revoir ce gardien de but faire la roue dans l'espoir de déconcentrer un tireur de pénalty... qui lui répond de la façon la plus humiliante :

Le football, c'est pourtant simple. Si vous voulez mon avis, ce gardien a franchement besoin de passer en cellule de dé-gri-grisement.

footlog 2009

2009.10.20

Ballon d'Or 2009

France Football a livré sa liste des 29 nominés pour la course à la seconde place derrière Lionel Messi, incontournable Ballon d'Or 2009. Une livrée assez classique sur l'axe Europe - AmSud, avec trois Africains pour renforcer la légitimité mondiale, mais aucun Asiatique à se mettre sous la dent*.

Cristiano Ronaldo abandonnera donc son trophée acquis l'an dernier, voire le podium sur lequel j'aimerais bien voir s'installer un Fabregas, un Xavi, un Iniesta ou un Eto'o. Rooney risque de devoir patienter un peu, et j'attends de voir comment il rosit sous le soleil sud-africain (Linecker s'était plutôt pas mal extrait de la fournaise mexicaine il y a - bon sang déjà - près d'un quart de siècle).

En fait, il y a du talent et de la jeunesse à revendre dans cette liste, avec une bonne demi-douzaine de joueurs susceptibles de brandir le titre individuel suprême dans les années à venir. On surveillera les premiers points grapillés par certains, et les dernières miettes collectées par de plus anciens. Pour Giggs, c'est vraisemblablement la dernière chance. Pour Henry, tout dépendra probablement du résultat du barrage contre l'Irlande en novembre prochain : l'édition 2010 sera réservée aux participants à la grande fête du football, avec une prime aux vainqueurs sur les meilleurs joueurs (pas toujours le même casting).

footlog 2009

ADDENDUM 200912 : "Ballon d'Or 2009 : Messi survole la concurrence"

* Les 29+1:

Andreï Archavine (Russie, Arsenal)
Karim Benzema (France, Lyon puis Real Madrid)
Iker Casillas (Espagne, Real Madrid)
Cristiano Ronaldo (Portugal, Manchester United puis Real Madrid)
Diego (Brésil, Werder Brême puis Juventus Turin)
Didier Drogba (Côte d'Ivoire, Chelsea)
Edin Dzeko (Bosnie, Wolfsburg)
Samuel Eto'o (Cameroun, FC Barcelone puis Inter Milan)
Cesc Fabregas (Espagne, Arsenal)
Fernando Torres (Espagne, Liverpool)
Diego Forlan (Uruguay, Atletico Madrid)
Steven Gerrard (Angleterre, Liverpool)
Ryan Giggs (Pays de Galles, Manchester United)
Yoann Gourcuff (France, Bordeaux)
Thierry Henry (France, FC Barcelone)
Zlatan Ibrahimovic (Suède, Inter Milan puis FC Barcelone)
Iniesta (Espagne, FC Barcelone)
Julio Cesar (Brésil, Inter Milan)
Kakà (Brésil, Milan AC puis Real Madrid)
Frank Lampard (Angleterre, Chelsea)
Maicon (Brésil, Inter Milan)
Lionel Messi (Argentine, FC Barcelone)
Luis Fabiano (Brésil, FC Séville)
Franck Ribéry (France, Bayern Munich)
Wayne Rooney (Angleterre, Manchester United)
John Terry (Angleterre, Chelsea)
Nemanja Vidic (Serbie, Manchester United)
David Villa (Espagne, Valence)
Xavi (Espagne, FC Barcelone)
Yaya Touré (Côte d'Ivoire, FC Barcelone)

2009.10.19

Le pouvoir d'Arsène Wenger

L'Equipe Magazine nous a fait don d'une interview d'Arsène Wenger ce week-end.

Ce qu'il y a de bien avec l'Arsène, c'est qu'il parle rarement pour ne rien dire. Toujours dans son intérêt, mais avec une efficacité redoutable.

Et une certaine franchise. "Oui, je suis un homme de pouvoir, je n'ai pas peur de le dire. Le pouvoir, c'est d'avoir la liberté d'imprimer votre façon de penser, et de "faire". Je pourrais vous dire : "non, je déteste le pouvoir, je suis là parce que j'ai un talent exceptionnel", mais c'est faux. J'aime forcément le pouvoir. Il n'y a pas de hasard dans la vie, même si c'est inconscient. Si vous restez quelque part, c'est que vous aimez ça."

Wenger est un manager général et un stratège plus qu'un entraîneur et un tacticien. Son job est d'obtenir le meilleur des hommes dont il a la responsabilité, et les meilleurs moyens de la part des personnes auxquelles il doit son poste.

Wenger n'est pas un homme politique mais un homme qui assume sa dimension politique. Et n'hésite pas à rappeler à ses actionnaires que le Real sera toujours "le club de (s)on enfance".

A toutes fins utiles...

footlog 2009

2009.10.04

Arsenal Blackburn 75e mn - exterieur jour

Cesc Fabregas vient de lancer de l'exter droit Arshavin le long de la ligne, en position de defenseur latéral gauche. Une relance entre deux attaquants adverses suite à une situation chaude dans la surface d'Arsenal.

Le jeune Russe remonte rapidement mais sans grande opposition le terrain, laisse passer un appel sur sa gauche au moment d'entrer dans la surface, et décale de l'exter du droit sur le même Fabregas, complétant un une-deux de soixante mètres.

Le jeune Espagnol touche à peine la balle pour prolonger sur Theo Walcott de l'exter droit. On a déjà vu cette passe aveugle à Mexico en 70 ou avec Magic Johnson à la fin des années 80.

Le jeune Anglais transforme l'action d'un exter droit croisé à raz de terre.

Le foot c'est simple et c'est beau.

5-2 pour Arsenal et nous n'en sommes qu'à la 75e.

Le vieil Arsène bouillonnait de voir ses p'tits gars malmenés depuis le début de la partie, mais quand ils se décident à lâcher les chevaux...

Bon je retourne à ce que je faisais avant de lacher ces quelques phrases, juste histoire de marquer le coup.

On en est à la 82e. Les Gunners ont failli marquer encore deux fois, et peuvent eux aussi encore marquer le coup.

footlog 2009

ADDENDUM 20091004

Pas eu le temps de me logouter après le post, tiens : Bendtner colle le 6e. Avant même les arrêts de jeu. A ce niveau de jeu ce n'est plus du jeu. Ou plutôt c'est trop purement ludique.

2009.10.01

Roman KIM

Il est Coréen et s'appelle Kim mais comme son prénom et ses traits l'indiquent, il ne provient pas du moule habituel.

Du haut de ses 179 cm et de ses 13 ans*, Roman Kim est visiblement plus en avance sur le plan physique que scolaire : né en Russie, il a dû ratrapper le redoutable système éducatif local et n'entrera en "middle school" (l'équivalent de la 6e) qu'en Mars prochain.

Mais en passant de la Shingok Elementary School de Uijeongbu (juste au Nord de Séoul) à la Pochul Middle School de Pohang (dans le sud-est de la Corée), ce nouveau Roman fait déjà quelque part un choix professionnel : POSCO, le géant sidérurgique de la ville et du pays, a créé la Pocheol / Pohang Jecheol Middle School pour éduquer les enfants de ses employés, mais détient aussi le club des Pohang Steelers... et s'assure ainsi le futur recrutement de ce prometteur gardien de buts.

Kim Roman se voit déjà, comme son idole Park Ji-sung, jouer à Manchester United et en Coupe du Monde avec le brassard de capitaine de l'équipe nationale.

Je serais tenté de lui dire "passe d'abord ton bac". Et puis pas la peine d'aller en Premier League pour jouer la Ligue des Champions : hier soir, les Pohang Steelers de Sergio Farias viennent se qualifier pour les demi-finales de l'AFC Champions League, où ils n'affronteront finalement pas le FC Seoul mais son tombeur du jour, le Umm Salal de Gérard Gili.

Ces Qataris semblent a la portée des Steelers, même s'ils ont eu toutes les peines du monde à éliminer les Ouzbeks du FC Bunyodkor (4-1 a.p.). Si vous avez du mal à retenir le nom de ce club sans passé mais pas sans histoires, appelez-le FC Pétrodollars : hier soir ils alignaient tout de même dans leurs rangs un ancien Ballon d'Or (Rivaldo) et un entraîneur vainqueur de la Coupe du Monde (Scolari)... et au match aller sans doute un ou deux officiels de l'arbitrage.

footlog 2009
(initialement publié sur footlog archives : "KIM Roman, 13 ans, prêt pour la CM 2014 ou 2018 ?")

* voir "
Football prodigy turning heads at early age" (JoongAng Ilbo 20091001)

2009.09.23

Scoop : Flavio Briatore au PSG !

Exclusif : avec la complicité de l'Agence Fausse Presse, footlog est parvenu à interviewer Flavio Briatore à sa sortie de la Fédération Internationale de l'Automobile où il vient de se voir notifier son expulsion à vie du monde de la Formule 1 suite au scandale de l'accident provoqué au GP de Singapour 2008.

footlog: "Alors Flavio, pas trop amer ? Renault s'en tire avec un sursis et vous donnez l'impression de jouer le rôle du fusible idéal..."

Flavio Briatore : De toute façon j'avais fait le tour de la question - plusieurs centaines de fois le tour de chaque circuit pour être précis... La F1 commençait sérieusement à me sortir par les oreilles et d'ailleurs je suis à moitié sourd avec tous ces bruits de moteurs. Je devenais dingue après toutes ces années : j'en étais arrivé à chronométrer mes pauses pipi, c'est vous dire ! Non, la F1, c'est fini pour moi, terminé, basta !

footlog : "On passe à autre chose, donc. Mais quoi ? Vous dirigez avec Bernie Ecclestone le club londonien des Queen Park Rangers, et Lakshmi Mittal vous a rejoint avec tous ses milliards... Le Big Four de la Premier League peut commencer à se faire du mourron, non ?"

Flavio Briatore : Non. La Premier League aussi c'est fini. A partir du moment où je suis banni d'un sport je ne peux plus diriger un club là bas. Et puis Manchester City aussi a levé des milliards, la concurrence est trop forte. C'est ici que je veux et vais réussir (NB: il montre le sol de la Place de la Concorde où siège la FIA).

footlog : "Ici à Paris ? Vous allez reprendre le PSG ?"

Flavio Briatore : C'est mon objectif. Et si ça se fait pas je construirai quand même un stade ici-même. Alain Prost a bien paradé sur cette place dans sa McLaren pour fêter son titre, et les tribunes pourraient servir aux défilés du 14 juillet, pourquoi pas ? Mais le PSG ne peut pas m'échapper, je suis très confiant.

footlog : "C'est un gros scoop ça, Flavio ! Vous avec déjà commencé à négocier avec les actionnaires du club ?"

Flavio Briatore : J'ai déjà rencontré une demi-douzaine de dirigeants, un à chacun de mes passages dans votre belle capitale. Marrant, ils ont tous le titre de président à Paris ! Et je peux m'entendre facilement avec les actionnaires : Colony Capital et moi sommes complémentaires. Eux sont experts en immobilier et moi en sport. Et il y a du potentiel dans cette équipe...

footlog : "Quels sont à vos yeux les meilleurs atouts sportifs du PSG ?"

Flavio Briatore : Le club a des joyaux sous-exploités. Tenez Ceara, par exemple. Vous vous souvenez de son coup de génie contre Caen ? Ce joueur saura parfaitement se crasher artistiquement dans les panneaux publicitaires. Non seulement on manipule le résultat du match mais en plus on fait une fleur à un sponsor. Win-win-(et comme d'habitude avec le PSG) lose. Il faut aussi mieux capitaliser sur les anciens joueurs : Bernard Mendy a une dynamique formidable et une capacité d'aspiration phénoménale - j'ai encore en mémoire son dépassement de Roberto Carlos dans la chicane droite du Stade de France en sixième vitesse, une merveille. Ce type est capable de supporter une bonne centaine de G de pression.

footlog : "Une centaine ? Vous n'exagérez pas un peu sur ce coup ?"

Flavio Briatore : Pas du tout. Bernard est tout à fait en mesure de résister aux sifflets de 100 abonnés de la tribune G. Bon, je suis un peu moins sûr pour Boulogne et Auteuil mais il ne joue ni dans les buts ni dans l'axe donc pas de problème pour lui.

footlog : "Au niveau recrutement, à part le retour de Mendy, vous avez d'autres noms en tête ?"

Flavio Briatore : L'entraîneur. Il me faut un expert et je ne vois personne de mieux qualifié que Jean Todt.

footlog : "Jean Todt ? Mais il ne connait rien au foot !"

Flavio Briatore : Comme moi d'ailleurs ! Mais là n'est pas la question. Avec lui les joueurs vont enquiller les tours de piste sans rechignier. Et puis personne ne gèrera avec autant d'autorité et d'efficacité la profondeur de notre banc : Jeannot sait sélectionner les joueurs par un simple jet de pièce en l'air.

foolog : "Le projet semble parfaitement cohérent, en effet... Flavio Briatore au PSG, on peut donc annoncer le scoop à nos lecteurs ?"

Flavio Briatore : Avec ma bénédiction ! Mais faites vite : Sarkozy essaye de me prendre de vitesse en plaçant le club chez son ami Arnaud Lagardère. Le petit veut relancer le Matra Racing de son père avec Luis Fernandez et Alain Prost au volant.

2009.09.04

Lens bat Chelsea 0 Katuka contre 1

La sanction est tombée par la FIFA et non par l'UEFA mais sur le fond, Michel Platini doit se réjouir du verdict de la DRC (Dispute Resolution Chamber / Chambre de Résolution des Contentieux) : Lens s'est bien fait voler en 2008 quand Chelsea a forcé son joueur Gaël Katuka à résilier son contrat avec les Sang et Or.

A l'époque âgé de moins de 16 ans et international -17 ans, Katuka avait passé plus de la moitié de sa vie au sein de son club formateur.

Katuka va payer : 780.000 euros de compensation pour Lens, et quelques mois de réflexion pendant qu'il soigne la grave blessure qui l'éloigne des terrains depuis le début de l'année.

Chelsea va payer : 130.000 euros de compensation pour Lens, mais surtout interdiction de recruter le moindre joueur jusqu'au mercato d'hiver 2010-2011 (aucune entrée cet hiver ni l'été prochain).

Sur son site ("Statement on FIFA sanctions" - 20090903), Chelsea entend faire "l'appel le plus fort possible" d'une décision "extraordinairement arbitraire", jugeant la sanction "sans précédent à ce niveau et totalement disproportionnée".

Naturellement, Gervais Martel applaudit la décision. Le gain financier importe moins que le message adressé aux grands clubs : tout n'est pas permis, et la formation doit être protégée.

Le message s'adresse aussi et surtout aux joueurs et agents de joueurs : le joueur fautif paye six fois plus que le club fautif. Il est responsable de ses choix et non une marchandise. Il ne doit surtout pas se défausser sur les autres mais assumer son comportement jusqu'au bout.

La morale de l'histoire : le grand méchant loup est puni, mais le petit chaperon rouge et or est encore plus coupable s'il cherche illégalement à devenir un petit chaperon bleu.

Quant à mère-grand, elle a toutes ses dents, merci pour elle : la FIFA va peut-être réussir sa Coupe du Monde avec des stades prêts à temps, tandis que le pauvre Platoche espère toujours un miracle pour Pologne - Ukraine 2012.

footlog 2009

 

2009.08.28

Nick Hornby : Carton Jaune / Fever Pitch

Football et littérature font plus souvent bon ménage qu'on ne le pense, et cet ouvrage ravira les amateurs de football comme les amateurs de bonnes pages, les vrais supporters qui ont le malheur de supporter un club maudit (le "boring Arsenal" pré-Wengerien) contre vents et marées, comme les vrais héros de ce livre : ceux qui supportent ces vrais supporters au quotidien en dépit de leurs innombrables travers.

Et question travers, Nick Hornby nous régale au fil de comptes-rendus de matchs perdus d'avance : ceux de son club contre des adversaires plus brillants, le sien contre sa propre obsession.


2009.08.09

La Statue du Commandeur

Sans Karim Benzema mais avec Lucho Gonzalez, Christian Gourcuff, Eden Hazard, Michel Bastos, Stéphane Sessègnon et sans doute plein de nouveaux talents prêts à exploser, la L1 a frappé les trois coups de la saison 2009-2010.

Trois coups comme les trois buts de Rennes, premier leader sous la houlette de Frédéric Antonetti.

Je ne veux pas porter la scoumoune à François Pinault mais je crois que d'où il est (voir "Le Chevalier Blanc"), Robert Louis Dreyfus a plus de chance de ramener le titre à la fin de la foire où comme le rappelle Guy Roux, on compte les bouses. En la matière, Boulogne-sur-Mer et Grenoble (adversaires malheureux de Rennes et l'OM) ont ouvert leur compteur (du pied gauche, ça porte bonheur), et pointent déjà en pole pour la relégation.

Je vois le championnat plié bien avant la 38e journée, l'AS Monaco de Guy Lacombe terminer nettement plus haut que le Rennes d'Antonetti, l'OL de Puel mieux résister au calendrier infernal L1-C1 que le Bordeaux de Blanc, et le PSG de Kombouaré pratiquer un jeu encore plus offensif que celui de Le Guen. 

Enfin... tout ceci n'a que peu d'importance par rapport aux grosses échéances du printemps prochain : la France sera-t-elle présente au double rendez-vous Coupe du Monde 2010 et Euro 2016 ?

A la fin de la saison, on saura si la fabuleuse génération 1987 aura une chance de s'épanouir sous un ciel bleu : bleu comme le maillot de l'équipe nationale, bleu comme les livres de comptes des clubs de L1 s'ils se dotent d'outils capables de les aider à retenir les meilleurs joueurs français au sommet de leur forme (pour peu que les stades soient livrés à l'horizon 2014-2016, les Benzema & co pourront y évoluer entre leurs 27e et 29e années).

footlog